dimanche 22 mai 2011

Un ours dans la ville !

A Montréal, j’ai lu les récits de pvtistes qui ont rencontré des raton-laveurs et des moufettes, mais à Trois-Rivières, c’est un ours qui se balade dans la ville !

http://troisrivieres911.com/newspost/un-ours-au-centre-ville/

mai 19, 2011 Publié par Le Blogueur, Stéphan Desrochers

TROIS-RIVIÈRES - Ce matin très tôt un ours a été aperçu au centre-ville. Ce dernier dormait dans une cour arrière d’une résidence de la rue Niverville. (nb. c’est  la rue derrière chez moi...)

C’est un citoyen qui en se réveillant ce matin a aperçu l’ours qui était couché dans la cour arrière de chez lui (photo). Il a contacté les policiers qui à leur tour ont contacté un agent de la faune. Ce dernier a utilisé des fléchettes tranquillisantes, mais lorsqu’il a reçu le projectile il s’est enfui, mais a vite été rattrapé. Il sera relocalisé en forêt par les agents de la faune

Un autre ours avait été vu hier en fin de soirée dans le secteur du Boulevard Mauricien. Il a été aperçu par plusieurs citoyens, mais il n’a pas été localisé par la suite. Selon Carole Arbelot de la Sécurité publique de Trois-Rivières, il pourrait s'agir du même ours.

 

http://www.cyberpresse.ca/le-nouvelliste/faits-divers/201105/19/01-4401118-un-ours-au-centre-ville.php

Publié le 19 mai 2011 à 14h55 | Mis à jour le 19 mai 2011 à 14h55

Marie-Eve Lafontaine - Le Nouvelliste

(Trois-Rivières) Le centre-ville de Trois-Rivières a reçu la visite d'un invité pour le moins inhabituel, ce matin.

En effet, un ours mâle de 160 livres s'est baladé dans l'ouest de la ville avant d'aboutir au centre-ville. La Sécurité publique de Trois-Rivières a d'abord reçu un appel vers 23h30, mercredi, l'avisant qu'un ours se trouvait aux alentours du boulevard Mauricien, près de la rue Notre-Dame Ouest.

Les policiers ne l'ont pas repéré à ce moment-là. Il a ensuite été vu dans le coin du boulevard Marion, vers 3h.

Vers 5h, il a été localisé alors qu'il se trouvait au terminus de la Société de transport de Trois-Rivières, sur la rue Saint-Georges, au centre-ville.

Il a fini par aboutir dans la cour d'une résidence de la rue Niverville. Les policiers ont réussi à le retenir à cet endroit et la protection de la faune est arrivée à la rescousse. «Les agents de la protection de la faune sont intervenus rapidement. Vers 7h45, ce matin, l'ours était anesthésié. Il a été relocalisé à plus de 100 km. On pense qu'il est arrivé au centre-ville par la voie ferrée», explique Lucie Carpentier, conseillère en communication à la Direction générale de la Mauricie-Centre-du-Québec du ministère des Ressources naturelles et de la Faune.

C'est la première fois cette année que la protection de la faune intervient pour un ours en milieu urbain.

samedi 14 mai 2011

Trois-Rivières côté verso

Quelques clichés de Trois-Rivières vue de l’autre côté du fleuve.

Le port

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Le centre-ville

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L’île Saint Quentin et l'’usine de la Wayagamak

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Le cap de la Madeleine et sa Basilique

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Vue d’ensemble

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jeudi 12 mai 2011

Pourquoi vivre à Trois-Rivières ?

Voici une réponse trouvé sur le site urbania.ca, ils rigolent de certains clichés mais bien sûr, vivre à Trois-Rivières c’est tellement plus que ça !
Pour les images correspondantes, cliquez sur le lien en bas de l’article.

La ville de la semaine: Trois-Rivières

11 Mai 2011 Par Marjolaine Arcand | Publié dans : blogue

À Trois-Rivières, on est heureux. Pour 2011, la ville enregistre un indice relatif de bonheur de 77.10, la classant au 6e rang des villes québécoises, loin devant Montréal (trop chère), Québec (trop plate), ou St-Jean-sur-Richelieu (trop humide?). C’est peut-être à cause des poèmes un peu partout sur les murs. Ou parce que les loyers coûtent pas chers (taux de chômage de 9% oblige). Ou pour un ou l’autre de ces points :

1- Où cé qu’elles sont les trois Rivières ?
Ok. Y’a pas vraiment trois rivières à Trois-Rivières. C’est juste un gros canular. C’est la faute au Capitaine Dupont-Gravé, qui faisait la traite de fourrure avec les autochtones dans le temps : les îles qui séparent la rivière St-Maurice au confluent du fleuve Saint-Laurent lui donnaient l’impression de voir triple! Il avait peut-être abusé de l’alcool frelatée…Une chose est sûre, quand t’es pas sur la voie maritime, le concept est franchement plus flou.

2- Ici, on a la 40 dans le cœur…parce qu’elle est au cœur d’la ville.
Pour quiconque sillonne la 40, Trois-Rivières est l’arrêt-pipi par excellence entre Berthierville et Donnacona. Pour ceux qui y vont. En plus, pas de niaisage, l’autoroute passe direct dans la ville. Heille. C’est assez beau. À quand le prix national de design urbain?

3- Notre ville, c’est une p’tite vieille.

Fondée en 1634, Trois-Rivières est la deuxième plus vieille ville de la province. Si la plus vieille, Québec, a récemment fêté ses 400 ans en grandes pompes avec Céline Dion, Paul McCartney pis toute le gros kit, les Trifluviens et les Trifluviennes n’ont pas été en reste. Incapable d’attendre ses propres 400 ans, Trois-Rivières a fait tout un plat de ses 375 ans en 2009. Même Jonathan Roy était là!

4- Trois-Rivières, Rock City; y’a du talent ici d’dans.
À Trois-Rivières, on a nos stars locales. Il y a Gaétan Leclerc, le neveu de Félix, qui reprend de temps à autre les vieux succès de son oncle. Puis Elvis Lajoie, grand admirateur et imitateur du King. Sir Pathétik et sa composition sur la disparition de Cédrika. Et peut-être aussi le policier porte-parole de la Sécurité Publique qui multiplie les « hommages à Michael Bublé ». Mais surtout, il y a le Cowboy. Il ne chante pas, mais avec son coat de cuir et ses bottes Boulet, il parcourt les rues du centre-ville (bon, ok, LA rue du centre-ville) et attire l’attention en posant, en sifflant, en dansant, en remontant ses jeans ben comme il faut et en faisant la circulation. Malgré ses 300 000 occurrences sur Google, personne ne le connait vraiment. Un peu comme le gars qui fait Spiderman sur Ste-Catherine à Montréal. Mais le Cowboy, lui, y fait ça gratiss.

5- Full racing wannabe St-Eustache

C'est au moment où le printemps revient et que les terrasses sont pleines sur la rue Des Forges (côté Est seulement, parce que c'est juste là qu'il y a du soleil. Là, pis au Bronzage Laguna), que sortent les gros chars ben shinés. Mais surtout leurs conducteurs qui passent et repassent sur la main, la fenêtre baissée, du Sean Paul dans l'tapis. Puis, direction Dairy Queen. Pourquoi? Ben pour aller manger une grosse molle à vanille en ouvrant leurs hoods dans le parking, en gang. À tourner en rond de-même dans le centre-ville, ils doivent avoir besoin de checker l'huile, tsé.

6- Une odeur de vieille pitoune
Reconnue pour être la capitale mondiale des pâtes et papiers, Trois-Rivières a des particularités olfactives causées par cette industrie. Aujourd’hui, y’a comme une odeur qui flotte, surtout dans le BDC (lire : bas du Cap-de-la-Madeleine). On dit donc couramment que « ça sent le bas du cap ». Un gars de Laval me faisait remarquer qu’il y a de très bonnes blagues d’hygiène masculine à faire là-dessus.

7- Notre centre-ville, c’est quasiment comme Miami Beach.

C’est vrai. Avec tous ces restaurants à proximité du majestueux fleuve St-Laurent, on se croirait sur Ocean Drive. Presque. Y’a pas de pitounes en bikini, mais y’a souvent une gang de filles pleines de sueur qui font de l’aérobie dans vieux port, avec Aérobin. Le proprio, Robin (c’est comme un jeu de mots) c’est un roi du fitness, un genre de Josée Lavigueur version trifluvienne.

8- La Basilique Notre-Dame du Cap
Si vous cherchez un sens à votre vie, pas nécessaire de faire le chemin de Compostelle. Rendez vous à la Basilique Notre-Dame du Cap (C’est dans le BDC… suivez l’odeur!). Y’a déjà eu des miracles là-bas. Pour l’ambiance, allumez un lampion et syntonisez radio Ville-Marie.

9- Visitez nos meilleures adresses

Trois-Rivières regorge d’endroits mythiques. Après avoir noté à la main le score de votre joute de quilles dans la petite salle Châteaudun, une des plus vieilles du Québec (c’est pas des jokes, ce sont de vraies personnes qui replacent manuellement les quilles tombées et renvoient les boules), il faut se désaltérer. Rendez vous au célèbre Coconut Bar, un lounge polynésien où fleurissent des palmiers en plastique autour d’un lac artificiel, pour y boire un drink dans une fausse noix de coco en porcelaine. Puis direction Le Cabarin : situé dans un sous-sol, le plus vieux bar de la ville, fondé en 1962, semble figé dans le temps. Ses clients aussi. On va là pour danser ou pour aller voir la fameuse statue érotique. Pis ça coûte juste 3 piasses.

10- Une histoire de fesses
Vous refusez de payer 3 piasses pour aller voir la statue érotique du Cabarin ? Vous êtes cheap. Mais vous pouvez tout de même trouver votre compte en arpentant gratuitement la côte Plouffe. Elle a été surnommée la « côte à deux fesses » par la population trifluvienne, à cause de sa forme coquine. C’est un peu moins sexy, mais vous pourrez y admirer la fresque réalisée par des artistes de… Québec.


La ville de la semaine: Trois-Rivères en images

 

Petit dico pour mes amis français
> S
aint-Jean sur Richelieu, trop humide, c’est en référence aux graves inondations que subissent les habitants depuis quelques temps.
> La 40 : comprenez plutôt l’A40 ou l’autoroute 40
> syntoniser : j’apprends des mots français ici, pour vrai ! en gros, ça veut dire, capter, se brancher.
> 3 piasses = 3 dollars (dans le sens commun)
Et pour les mots anglais ? Ca serait trop long !  Nyah-Nyah

samedi 7 mai 2011

La Mauricie à l’état naturel

Comme je le disais précédemment, les oies sauvages étaient à nouveau au rendez-vous pour leur grande migration. Comme l’an passé, j’ai raté le plus gros des troupes, mais le déplacement à la Baie du Fèvre vaut encore le coup fin avril.

En repartant, on aperçoit tout un coup, un groupe de 5 chevreuils traversant la route pour rejoindre un petit bois de l’autre côté. Et puis plus loin, un autre groupe arrive, regarde la route, attend et puis rebrousse chemin. On a vraiment eu le temps de bien les voir, c’était beau ! (Mais l’histoire s’est mal terminée pour une petite téméraire qui  n’a pas suivi la sagesse de ses copains...)

Mais, le printemps au Québec c’est avant-tout le dégel des cours d’eau et des lacs. Dans un pays où on les compte par milliers, ça devient un spectacle lorsque les barrages ouvrent leurs portes. Le week-end dernier, c’était au tour des barrages de Shawinigan !

Un peu plus en aval, on arrive au barrage de La Gabelle, là où on allait faire du bateau l'an passé. Une petite visite et un avant/après s'imposait également !

30 avril 2010 / 7 mai 2011

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Imaginez lorsque ce débit passe non pas par les portes, mais par les turbines de la centrale...

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Aussi, au printemps, la neige évaporée laisse apparaitre quelques cadeaux... Heureusement, nous avons un nettoyeur de printemps hors-pair !

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Carte des visiteurs

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