Le quartier où nous sommes fait partie des quartiers qui étendent les limites de la ville. Je veux dire que les rues se prolongent au fur et à mesure que les maisons se construisent. Et elles poussent comme des champignons, l’immobilier n’est pas en crise !
Quand nous sommes arrivées, en juillet dernier, il y avait un bloc en construction. Un mois après à peine, c’était celui d’en face qui s’élevait. Entre deux, il y avait un terrain vague qui communiquait avec une zone non construite car elle est en-dessous des lignes à haute-tension (encore que, il y a une autre place dans la ville, où un nouveau lotissement sort de terre pile en dessous des mêmes lignes !). Tous ces nouveaux logements se construisent en fait sur des zones humides et même marécageuses. Cooky en avait fait la mauvaise expérience : on avait traversé cette grande zone pour rejoindre un boisé et au retour par un autre côté, il s’était complètement embourbé (voir photo ici).
Bref, voilà, que le terrain vague, tout aussi humide, est maintenant loti de deux autres blocs, presque finis. Au bout de cette rue, un petit boisé bordé par une mini rivière qui humidifie toute la zone, si bien que l’été c’est trop boueux pour s’y promener. Le printemps et l’automne aussi d’ailleurs. J’attendais donc que le froid gèle tout ça et que la neige recouvre les lieux pour pouvoir passer. C’est chose faite, voici une promenade qui change le parcours quotidien de la balade du pitou ! Et sous le soleil en plus !
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